
EDITO
« Opera Gems in a Gothic Gem »
« Joyaux lyriques, Joyaux gothiques »
Chanter à la Sainte-Chapelle est une sensation unique : c’est créer un lien particulier entre Ciel et Terre, entre les artistes et le public… La magie de ce lieu, joyau du gothique rayonnant, nous a donné envie de faire rayonner les joyaux de l’art lyrique. Les oeuvres… et les artistes. C’est un écrin réellement privilégié pour les (re)découvrir de près : un cadre à la fois intimiste et somptueux – équilibre rare.
Je remercie Yann Harleaux de m’avoir confié ce projet et le Centre des Monuments Nationaux de nous avoir choisis pour créer ce festival et trois saisons de concerts.
« 5 week-ends thématiques, 15 concerts, plus de 50 artistes »
« 5 thematical week-ends, 15 concerts, more than 50 artists »
Nous avons réuni de grands noms du lyrique mondial et des jeunes talents français présents sur les scènes internationales : concerts « Carte blanche » en solo, duos, dialogues avec les instrumentistes, accompagnements différents à chaque concert, chœurs d’enfants de l’Opéra National de Paris…
« Operas stars, opera stories, opera duets, opera secrets »
« Des stars, des duos, des histoires, de l’Histoire »
Une présentation brève mettra le public dans l’atmosphère émotionnelle propre à chaque moment du concert. Un Festival conçu tout à la fois pour le grand public et pour les férus d’opéra. Des histoires dans un lieu chargé d’Histoire, des concerts vivants, actuels, et un espace d’intimité avec des artistes exceptionnels.
« De la magie, de l’émotion »
« Magic, emotion »
A chaque concert, « Les Minutes Mystiques » rendront hommage à ce lieu exceptionnel, entre pouvoir sacré et pouvoir politique, au sein de l’ancien Palais royal.
Tous ces artistes, je les ai choisis parce que je les aime. Parce qu’au-delà de leur parcours et de leur voix, quand ils sont sur scène, ils créent la magie, l’exaltation, les larmes, le frisson. Nous vous souhaitons une belle découverte de ce printemps lyrique et sommes très heureux de contribuer à faire de ce monument à la fois un lieu et un moment de la vie culturelle parisienne.
Fabienne Conrad, Directrice artistique

Carte Blanche à PATRICIA PETIBON

VENDREDI 31 MARS 2023 - 18h00
CONCERT D’OUVERTURE
Patricia Petibon, Soprano
Susan Manoff, Piano
Christian-Pierre La Marca, Violoncelle
Les artistes en quelques mots...
Patricia Petibon
Soprano colorature française, Patricia Petibon est découverte à sa sortie du Conservatoire par William Christie et débute avec lui en 1995 à la Scala dans une version concertante de La Descente d’Orphée aux Enfers de M-A Charpentier, puis au Palais Garnier dans Hippolyte et Aricie de Rameau.
Elle chante ensuite l’Amour dans une mise en scène par Robert Carsen d’Orphée et Eurydice de Gluck sous la direction de John Eliot Gardiner au Théâtre du Châtelet, dans Les Indes Galantes de Rameau à l’Opéra de Paris. Elle est Olympia dans Les Contes d’Hoffmann d’Offenbach à l’Opéra d’État de Vienne et au Grand Théâtre de Genève, et débute au Festival de Salzbourg dans Ariodante de Haendel. Puis elle est Sœur Constance dans les Dialogues des Carmélites de Poulenc à l’Opéra de Paris, au Teatro Real de Madrid, Sophie dans Le Chevalier à la rose de Strauss au Staatsoper de Vienne. Au Festival de Munich, d’Aix-en-Provence, au Staatsoper de Berlin, au TCE, à l’Opera de Lyon, de Genève, au Liceu de Barcelone…. elle a incarné les rôles emblématiques de Suzanne, Gilda, Blanche, Ginevra, Manon, Eurydice, les quatre héroïnes des Contes d’Hoffmann… et plus récemment la Voix humaine et Lulu de Berg.
Christian-Pierre La Marca
» Un jeune homme qui se classe déjà parmi les maîtres du violoncelle », Christian Pierre La Marca s’est rapidement distingué par sa présence magnétique sur les meilleures scènes du monde (Philharmonie de Paris, le Southbank Centre de Londres, le Musikverein de Vienne, la Philharmonie de Berlin, le Théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg, le Mozarteum de Salzbourg, le Concertgebouw d’Amsterdam, la Elbphilharmonie à Hambourg, le Victoria Hall de Genève, la Fenice à Venise, le 92nd Street Y de New York, le Oji Hall de Tokyo…) et sa discographie est couronnée de prix. Le Monde le salue comme appartenant à « l’élite du violoncelle français ». « Sa maîtrise de l’instrument, son élégance lyrique et son bon goût » applaudis par Gramophone en font un complice particulièrement bien choisi pour une artiste lyrique telle que Patricia Petibon.
Susan Manoff
Gagnante de la Lilian and Paul Petri competition for foreigh study en tant que soliste et accompagnatrice, elle a travaillé à l’Opéra de Paris, à l’Opéra de Munich, au Capitole de Toulouse et à la Guildhall de Londres. Passionnée par la musique de chambre, Susan Manoff joue régulièrement dans des salles telles que le Théâtre des Champs-Élysées, la Salle Gaveau, le Wigmore Hall, le Carnegie Hall, le Konzerthaus Wien et aux côtés d’artistes lyriques tels que Véronique Gens, Patricia Petibon, Vincent LeTexier,
Natalie Dessay, Hélène Delavault ou encore Christa Ludwig. Passionnée de théâtre, elle a a créé de nombreux spectacles. Sa discographie riche et éclectique comprend notamment un disque de musique américaine avec Patricia Petibon et plus récemment un album avec le violoniste Nemanja Radulovic.
Carte Blanche à Patrizia CIOFI

SAMEDI 1er AVRIL - 20h00
Patrizia Ciofi, Soprano
Edward Liddall, Piano
Patrizia Ciofi en quelques mots...
Sa voix de soprano lyrique légère et sa pleine maîtrise du registre de colorature lui valent de remporter plusieurs compétitions internationales. Italienne, elle fait en 1996 ses débuts à La Scala sous la baguette de Riccardo Muti dans La Traviata. Elle y retourne dès l’année suivante en Adina dans L’Elixir d’amour de Donizetti. Suivent ses débuts à l’Opéra de Paris en 1999 en Nanetta (Falstaff).
Théâtre royal de Madrid , Théâtre du Châtelet, l’Opéra d’Etat de Bavière, Théâtre des Champs Elysées, Festival Rossini de Pesaro, Opéra de Lyon Lyon aux côtés de Roberto Alagna, Covent Garden, Opera de Zurich, Chicago aux côtés de Jonas Kaufmann, Opéra de Paris, Chorégies d’Orange, Berlin, Marseille, Monte Carlo, La Fenice, Liceu de Barcelone… Patrizia Ciofi a depuis interprété tous les grands rôles de Prima Donna du répertoire de lyrique légère (Gilda, Sonnambula, Adina, Giulietta, Violetta, Juliette, Lucia di Lammermoor…) qui l’ont consacrée reine incontestée du Bel Canto. Elle a également beaucoup incarné les grandes héroïnes du répertoire français (les quatre héroïnes des Contes d’Hoffmann, Manon, Ophélie….).
Carte Blanche à Gaëlle ARQUEZ

DIMANCHE 2 AVRIL 20h00
Gaëlle Arquez, Mezzo-soprano
Susan Manoff, Piano
PROGRAMME :
« Granada », Lara
Les artistes en quelques mots...
Gaëlle Arquez
L’une des étoiles montantes du monde de l’opéra, Gaëlle est issue du CNSM de Paris et fait ses débuts à l’Opéra Bastille puis est invitée dans les maisons d’opéra les plus renommées. Nominée parmi révélations lyriques des Victoires de la Musique 2011, elle enregistre « Ardente flamme » pour Deutsche Grammophone en 2017. Elle interprète plusieurs rôles baroques puis Charlotte à l’Opéra de Francfort puis au Staatsoper de Vienne, puis Dorabella à l’Opéra de Florence, la Muse dans les Contes d’Hoffmann à Vienne et à l’Opéra de Paris, et Chérubin dans les Noces de Figaro au Met de New York. Elle a chanté lors du concert du 14 Juillet devant la Tour Eiffel, a été jury de l’émission « Prodiges » et sera cette saison Carmen à l’Opéra de Paris et à l’Opéra Comique.
Comme Patricia Petibon, elle sera accompagnée par Susan Manoff au piano, dans ce récital de mélodies françaises et espagnoles qui fera la part belle à la complicité et aux contrastes sensuels.
« Chants de la Nuit, Chants à Marie »
Stabat Mater de Pergolèse,
Airs et duos de femmes

JEUDI 7 AVRIL - 20h00
Fabienne Conrad, Soprano
M, Mezzo-soprano
Les Solistes Français, Paul Rouger
PROGRAMME :
Airs de Purcell, Rameau…
Salve Regina de Leo & Porpora
Stabat Mater de Pergolèse
Les artistes en quelques mots :
Fabienne Conrad :
» Her voice commands the entire stage right down to the last mortal breath » The Baltic Times – « L’alchimie des artistes d’élite », Der neue Merker
« Présence scénique prodigieuse, maîtrise vocale, capacité à émouvoir, couleurs et pianissimis, Fabienne Conrad fascine » (Lrytas) – « Des aigus éblouissants, une technique d’acier » Opéra Magazine
C’est dans le rôle-titre de La Traviata qu’elle débute en France : « intensément émouvante et callassienne », elle y offre « des pianissimis qui rappellent Montserrat Caballé » (Forume Opera / NNNews). On lui propose ensuite en quelques saisons plsu de vingt rôles tels que la Comtesse, Juliette, Donna Anna, Mireille, Manon, Mimi ou encore plus récemment Liù, Norma, Madama Butterfly, Tosca… mais aussi le soprano solo du Requiem de Verdi. Sa performance « vocalement et dramatiquement grandiose » (Der neue Merker) dans les 4 héroïnes des Contes d’Hoffmann lui ouvre les portes des scènes européennes. Choisie par A. Duault pour une série de concerts « Maria Callas, une passion, un destin », elle fait partie des quelques jeunes sopranos françaises à pouvoir endosser des rôles à vocalités multiples. Elle a interprété un très vaste répertoire d’oratorio (Messe en ut, Vêpres d »un confesseur, Requiem de Mozart, Requiem de Verdi, Requiem de Brahms, Stabat Mater de Rossini, de Pergolèse, de Leo, de Dvorak, Vêpres à la Vierge de Monteverdi, Gloria de Poulenc, Messe à Sainte Cécile de Gounod, airs sacrés romantiques français de Masssenet, Gounod et créations contemporaines de JL Gand….)
Au-delà des scènes françaises, on la retrouve ainsi sur les scènes de l’Opéra de Leipzig, du Teatro Real de Madrid, de l’Opéra National de Lituanie, de Stara Zagora, Sofia, Lausanne… en concert Salle Pleyel, à la Tour Eiffel, Salle Gaveau, à l’Opéra Comique, au MCPA de Mumbay, au Victoria Hall de Calcutta, à Moscou et en tournée en Russie avec Muscaetrena de T. Currentzis, aux Galas de la Garde Républicaine, à l’ouverture des Chorégies d’Orange en direct sur France Télévision, en image du jour de BBC News….
« Bijoux virtuoses »
Jodie DEVOS & Hugues BORSARELLO

DIMANCHE 9 AVRIL - 20h00
Jodie Devos, Soprano
Hugues Borsarello, Violon solo
Thomas Palmer, Piano
PROGRAMME :
Un programme original en duo avec le violon solo d’Hugues Borsarello, accompagné par Thomas Palmer au piano
Détails à venir
Les artistes en quelques mots...
Jodie Devos :
Après avoir été lauréate du Concours international Reine Élisabeth, la jeune et brillante carrière de la soprano belge Jodie Devos l’amène sur les plus belles scènes lyriques internationales. Son timbre lumineux et sa virtuosité lui permettent d’aborder les rôles les plus emblématiques du répertoire de soprano colorature : Les Contes d’Hoffmann, Lakmé, L’Enlèvement au sérail, Le Comte Ory, La Fille du régiment, Mignon, Cendrillon, L’Enfant et les sortilèges… Elle se produit sous la baguette de chefs tels que Paolo Arrivabeni, Laurent Campellone, Mikko Franck, Leonardo García Alarcón, Philippe Jordan, Dimitri Jurowski, Louis Langrée, Antonello Manacorda, Enrique Mazzola, Marc Minkowski, François-Xavier Roth, Christophe Rousset… Elle donne par ailleurs de nombreux concerts et récitals à travers le monde, notamment en Belgique (Gent, Anvers, Bruxelles), en France (Paris), en Allemagne (Düsseldorf), en Hollande (Maastricht), en Italie (Venise), en Inde (Bombay), au Canada (Québec), en Pologne (Katowice), mais aussi lors d’une tournée au Brésil.
Hugues Borsarello :
« C’est inévitablement à Arthur Grumiaux que l’on songe en écoutant Hugues Borsarello jouer Mozart» (Diapason – sept. 2015) : Ces mots résument à eux seuls l’exceptionnel talent instrumental de ce violoniste brillant et charismatique. Aisance, fluidité, élégance, précision comptent parmi les qualités musicales associées à son nom; mais son timbre lumineux et son jeu aérien font avant tout l’unanimité auprès de la critique autant que de ses pairs et du public. Son plaisir contagieux de partager la musique et sa capacité à susciter une véritable osmose valent à H. Borsarello l’adhésion naturelle de ses partenaires tels que Gautier Capuçon, Frank Braley, Jérôme Ducros, Françcois Dumont… Habitué des plateaux TV, Hugues Borsarello travaille avec nombre de grands chefs et de chanteurs lyriques tels que Karine Deshayes, Jodie Devos, Fabienne Conrad, Rolando Villazon…
Invité régulièrement en tant que soliste et chambriste en France et à l’étranger, son répertoire s’étend de Vivaldi, Bach, Mozart, Beethoven, à Tchaïkovski ou Sibelius et jusqu’aux œuvres virtuoses de Saint-Saëns, Kreisler, Sarazate, Paganini… H. Borsarello joue un violon de V. Ruggieri, Cremona c.1695 et un archet de Léonard Tourte c.1790.
« Femmes & Pouvoir »
Duos Soprano versus Baryton

VENDREDI 14 AVRIL - 20h00
Fabienne Conrad, Soprano
Régis Mengus, Baryton
Jean-François Boyer, Piano
Extraits de
Les artistes en quelques mots...
Régis Mengus :
Prix du public du Concours International de chant de Vivonne, Premier prix, Prix du public, et Prix spécial Voix Graves au Concours International de Bordeaux, Prix de l’Opéra National de Bordeaux, Régis Mengus endosse régulièrement les rôles de baryton dans les maisons françaises et européennes telles que l’Opéra de Paris, le Deustche Oper de Berlin, le Festival de Glyndebourne, l’Opéra de Lausanne, de Saint-Etienne, de Reims, de Rennes, les Opéras de Massy, de Montpellier, de Tours, de Marseille, l’Opéra du Rhin, l’Opéra de Metz…
Régis Mengus vient de faire une prise de rôle très remarquée dans Werther de Massenet. Sa voix ronde, brillante et son aisance scénique en font un des jeunes barytons français incontournables des scènes françaises et européennes.
Fabienne Conrad :
» Her voice commands the entire stage right down to the last mortal breath » The Baltic Times – « L’alchimie des artistes d’élite », Der neue Merker
« Présence scénique prodigieuse, maîtrise vocale, capacité à émouvoir, couleurs et pianissimis, Fabienne Conrad fascine » (Lrytas) – « Des aigus éblouissants, une technique d’acier » Opéra Magazine
C’est dans le rôle-titre de La Traviata qu’elle débute en France : « intensément émouvante et callassienne », elle y offre « des pianissimis qui rappellent Montserrat Caballé » (Forume Opera / NNNews). On lui propose ensuite en quelques saisons plsu de vingt rôles tels que la Comtesse, Juliette, Donna Anna, Mireille, Manon, Mimi ou encore plus récemment Liù, Norma, Madama Butterfly, Tosca… mais aussi le soprano solo du Requiem de Verdi. Sa performance « vocalement et dramatiquement grandiose » (Der neue Merker) dans les 4 héroïnes des Contes d’Hoffmann lui ouvre les portes des scènes européennes. Choisie par A. Duault pour une série de concerts « Maria Callas, une passion, un destin », elle fait partie des quelques jeunes sopranos françaises à pouvoir endosser des rôles à vocalités multiples.
Carte Blanche à Charles CASTRONOVO

SAMEDI 15 AVRIL 20h00
Charles Castronovo, Ténor
Claire Habbershaw, Piano
Ysaline Lentze, Harpe
PROGRAMME :
Charles Castronovo en quelques mots...
Ténor américain, né à New York, il est l’un des plus grand ténors mondiaux actuels. Il chante régulièrement sur les plus grandes scènes du monde les rôles les plus emblématiques du répertoire de ténor lyrique.
Il débute à l’Opéra de San Francisco , chante beaucoup Mozart et le répertoire italien aux Etats-Unis. Puis il se produit en Europe au Staatsoper de Berlin sous la direction de D Barenboïm, aux Proms de Londres, à l’Opéra de Paris , à Hambourg, au Staatsoper de Vienne, au Royal Opera House de Londres, à Gênes, à la Monnaie de Bruxelles, au Capitole de Toulouse, à Munich, avec Natalie Dessay à Aix en Provence, Baden-Baden, Zurich, Salzbourg, à la Scala dans la Bohème etc… dans tous les plus grand rôles du répertoire. Il excelle dans le répertoire romantique français (Les Contes d’Hoffmann, Mireille à l’Opéra Garnier, Werther à Zürich, Don José dans Carmen à l’Opéra de Paris…).
Il a enregistré de très nombreux disques et DVD. Ténor en duo dans le dernier disque de Sonya Yoncheva, il sort un nouvel album Verdi début 2023.
Il sera accompagné par Claire Habbershaw au piano, et Ysaline Lentze à la harpe. Un trio entre lyrisme absolu, passion et délicatesse. Un grand moment d’opéra.
« Carmen de Bizet :
histoire fascinante, musique envoûtante »

DIMANCHE 16 AVRIL 20h00
Le meilleur du chef-d’oeuvre de Bizet par les Solistes et Choeurs d’Enfants de l’Opéra National de Paris
Direction : Gaël Darchen
Une heure de musique pour captiver petits et grands, un chef d’oeuvre à redécouvrir autrement.
Le concert en quelques mots...
L’histoire et les grands moments musicaux du chef-d’oeuvre de Bizet les Solistes et Choeurs d’enfants de l’Opéra National de Paris : La Garde montante, Habanera, Séguedille, La chanson des Bohémiens, la Fleur que tu m’avais jeté, l’air du Toréador, le Trio des cartes, le Final….
Soprano : Johanna Monty / Mezzo-soprano : Adélaïde Mansart / Mezzo-soprano : Eva Pion / Ténor : Simon Bièche / Baryton : Louis de Lavignère / Pianiste : Marcus Price
Direction: Gaël Darchen
« Soeurs, rivales, fatales »
Duos de femmes à l'opéra


JEUDI 20 AVRIL 20h00
Fabienne Conrad, Soprano
Yete Queiroz, Mezzo-soprano
Samuel Parent, Piano
Loan Cazal, Alto
Gauthier Hermann, Violoncelle
Lakmé, Delibes
Norma, Bellini
Gräfin Mariza, Kalman
Les artistes en quelques mots...
Yete Queiroz :
Lauréate du Concours international de Marmande, elle intègre le CNIPAL en 2009 puis l’Académie de l’Opéra Comique à Paris.
Particulièrement appréciée en France et dans toute l’Europe pour sa voix ample et chaude, son charisme et sa musicalité, elle y interprète souvent le rôle-titre de Carmen, mais aussi celui de Djamileh de Bizet. à l’Opéra de Marseille de Toulon et d’Avignon.
Elle a débuté dans l’Enfant et les Sortilèges de Ravel, et on lui confie très vite des rôles tels que Dorabella dans Cosi fan Tutte de Mozart, Chérubin des Noces de Figaro de Mozart dans le cadre de l’Académie du Festival d’Aix-en-Provence, Papagena à l’Opéra de Marseille, ou encore Zerlina à l’Opéra National de Lyon dont elle est l’invitée régulière, Lola dans Cavalleria Rusticana de Mascagni à l’Opéra de Saint-Etienne… Elle chante également à l’Opéra de Toulon, d’Avignon, de Montpellier et son récital autour d’œuvres de Villa-Lobos en écho à ses origines brésiliennes est très apprécié. Elle participe au Festival De Radio France à L’Opéra de Montpellier, à l’ouverture de la Fondation Vuitton à Paris, et travaille avec l’Opéra Studio de Lyon, l’Orchestre National de Montpellier, l’Orchestre du Capitole de Toulouse, l’Orchestre de l’Opéra de Dijon, le Royal Opera House de Muscat au Sultanat d’Oman, l’Opéra Comique de Paris… Elle a enregistré pour l’émission de Jean-François Zygel « La Boîte à Musique » sur France 2.
Fabienne Conrad, soprano :
» Her voice commands the entire stage right down to the last mortal breath » The Baltic Times – « L’alchimie des artistes d’élite », Der neue Merker
« Présence scénique prodigieuse, maîtrise vocale, capacité à émouvoir, couleurs et pianissimis, Fabienne Conrad fascine » (Lrytas) – « Des aigus éblouissants, une technique d’acier » Opéra Magazine
C’est dans le rôle-titre de La Traviata qu’elle débute en France : « intensément émouvante et callassienne », elle y offre « des pianissimis qui rappellent Montserrat Caballé » (Forume Opera / NNNews). On lui propose ensuite en quelques saisons plsu de vingt rôles tels que la Comtesse, Juliette, Donna Anna, Mireille, Manon, Mimi ou encore plus récemment Liù, Norma, Madama Butterfly, Tosca… mais aussi le soprano solo du Requiem de Verdi. Sa performance « vocalement et dramatiquement grandiose » (Der neue Merker) dans les 4 héroïnes des Contes d’Hoffmann lui ouvre les portes des scènes européennes. Choisie par A. Duault pour une série de concerts « Maria Callas, une passion, un destin », elle fait partie des quelques jeunes sopranos françaises à pouvoir endosser des rôles à vocalités multiples.
« Rois et démons »
Voix graves sous les voûtes

SAMEDI 22 AVRIL 20h00
Frédéric Caton, Basse
Maguelone Parigot, Piano
PROGRAMME :
Détails à venir
Frédéric Caton en quelques mots...
Formé à l’Atelier lyrique de l’Opéra de Paris puis membre de la troupe de l’Opéra National de Lyon, il a chanté de nombreux rôles tels que Colline dans la Bohème, le Moine de Don Carlo, Sarastro dans la Flûte Enchantée, le Père Capulet ou Frère Laurent dans Roméo et Juliette de Gounod, Oroveso dans Norma…
Depuis, il est régulièrement invité sur les scènes du monde entier : Opéra de Paris, La Scala, Staatsoper de Berlin, Liceu de Barcelone, Grand Théâtre de Genève, Academia Santa Cecilia de Rome, Royal Albert Hall de Londres, Opera de Monte-Carlo, Salzburger Festspiele, Concertgebouw d’Amsterdam, Konzerthaus de Vienne, Capitole de Toulouse, Chorégies d’Orange… Il a enregistré sous la direction de Kent Nagano…
Ce programme original explore toutes les facettes des rôles de Basse à l’Opéra, du plus noble au plus tragique, en passant par la vivacité, l’humour et l’incarnation du sacré. Un programme riche en contrastes, une surprise en duo et de la profondeur sous les voûtes de la Sainte-Chapelle.
« Frères amis, frères ennemis »
Duos d'hommes à l'opéra

DIMANCHE 23 AVRIL 20h00
Kévin Amiel, Ténor
Régis Mengus, Baryton
Jean-François Boyer, Piano
Les artistes en quelques mots...
Kévin Amiel :
« Sa formidable aisance scénique s’accompagne de qualités vocales tout aussi remarquables » Opéra Magazine.
Nommé aux Victoires de la Musique Classique 2020 dans la Catégorie « Révélations Artistes lyriques », lauréat de nombreux concours de Chant (Vienne, Opéra de Marseille, Marmande, Béziers…)
il est Révélation Adami en 2011 et Prix de l’AROP en 2013. Il a été membre de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Paris.
Il a chanté Alfredo dans La Traviata et Nemorino dans l’Elixir d’Amour au Capitole de Toulouse et à l’Opéra de Bordeaux, Nadir (Les Pêcheurs de Perles) à Turin, Rodolfo dans la Bohème à L’Opéra Comique, le rôle-titre des Contes d’Hoffmann dans une adaptation pour l’Opéra de Dijon… Il chante régulièrement sur toutes les grandes scènes françaises et on le retrouve très souvent sur France Télévisions aux côtés de Roberto Alagna et du chef d’orchestre Yvan Cassar ou encore à la Cérémonie d’ouverture des Chorégies d’Orange.
Régis Mengus :
Prix du public du Concours International de chant de Vivonne, Premier prix, Prix du public, et Prix spécial Voix Graves au Concours International de Bordeaux, Prix de l’Opéra National de Bordeaux, Opéra de Lausanne, Opéra de Saint-Etienne, Opéra de Reims, Opéra de Rennes, Opéras de Massy, de Montpellier, Opera de Tours, de Marseille, Opéra du Rhin, Opéra de Metz, Deustche Oper de Berlin, Festival de Glyndebourne, Opéra de Paris…
Régis Mengus vient de faire une prise de rôle très remarquée dans Werther et fait partie des talents reconnus des scènes françaises et internationales. Sa voix ronde, brillante et son aisance scénique en font un des barytons français incontournables.
« No(s) Dames »
Hommage dégenré aux héroïnes d'opéra

LUNDI 24 AVRIL 20h00
Hommage dégenré aux héroïnes d’opéra
Théophile Alexandre, Contre-ténor
Quatuor Zaïde, quatuor à cordes au féminin :
Charlotte Maclet, Violon 1
Leslie Boulin-Raulet, Violon 2
Sarah Chenaf, Alto
Juliette Salmona, Violoncelle
Théophile Alexandre et "No(s) Dames" en quelques mots...
« Un ovni, étonnant, troublant, fasinant à écouter : le charme opère vraiment » France Musique « Récompense de l’audace des interprètes » Diapason « Relecture féministe des oeuvres d’opéra : logue vie à No(s) Dames ! » Causette « Une relecture exaltante aux arrangements ciselés, se moquant des fatalités de genres » RFI « Une expérience audacieuse, hors des sentiers battus » Opéra Magazine
Ses icônes d’enfance s’appelaient Callas, Nourrev et Klaus Nomi. Contre-ténor et danseur contemporain, il a été révélé par Jean-Claude Malgoire et Jean-Claure Gallotta, il se distingue dans divers concours internationaux (Vienne, Inssbruck, Bern, Naples, Barcelone) avant de se produire sur les plus belles scènes mondiales (Philharmonie de Paris, Lincoln Center de New York, Opera Royal de Versailles, Théâtre National de Chaillot, Konzertgebouw d’Amsterdam, Theâtre des Champs Elysées, Maison de la danse et Opéra de Lyon, Salle Gaveau, Opéra de Bern, Opéra d’Ottawa…). L’un des rares artistes au monde à entremêler ces deux arts : lyrique et danse.
Hommage dégenré aux hérönes d’opéra, le spectacle « No(s) Dames » créé en janvier au Trianon à Paris est une réflexion sur les corsets de genre.
Poignardées, malades, suicidées, brûlées vives, défenestrées, noyées, pendues… En 4 siècles d »opéras masculins, le sort imposé aux héroïnes est aussi monstrueux que leurs airs sont somptueux, nappant de romantisme la sublimation des femmes dans la souffrance et la violence, jusqu’au féminicide. Et si pour un soir, Drame ne rimait plus avec Dame ? Et si l’on inversait les rôles ? Projet lyriuqe humaniste, No(s) Dames redistribvue la direction musicale aux femmes et les agonies de diva à un homme.Loin des caricatures d’hier, les artistes incarnent la puissance du féminin et la sensibilité du masculin, célébrant de nouveaux modèles d’inspiration, porteurs d’un espoir universel.
« Porque existe otro querer »
Marina VIOTTI & Gabriel BIANCO

SAMEDI 29 AVRIL 20h00
Marina Viotti, Mezzo-soprano
Gabriel Bianco, Guitare accoustique
Les artistes en quelques mots...
Une personnalité dans le plein sens du terme, une artiste jusqu’au bout des ongles, qui n’hésite pas à faire cohabiter des univers a priori totalement étrangers » (Magazine Nuances)
Après un diplôme de flûte traversière, Marina Viotti s’essaie au jazz, au gospel, au heavy metal et, un diplôme de hautes études littéraire (hypokhâgnes) en poche, part s’installer à Vienne pour commencer le chant lyrique auprès de Heidi Brunner en 2011. Marina est élue en 2019 “Meilleure jeune chanteuse de l’année” aux International Opera awards, et gagne de nombreux prix dans différents concours : Finaliste du concours Operalia en 2018, 3e prix du Concours de Genève en 2016 ,1er prix au concours Kattenburg à Lausanne en 2017. Elle reçoit le Prix Suisse de Musique en 2022 et est nommée « Artiste lyrique de l’année » aux Victoires de la Musique cette même année.
Ses rôles importants à l’opéra incluent : Rosina (Barbier de Séville) au Bolshoi, Mélibéa (Le Voyage à Reims) et Nicklausse/La Muse (Les Contes d’Hoffmann) au Liceu de Barcelone ; Arsace (Aureliano in Palmira) et Isabella (L’italienne à Alger) au festival Rossini à Wildbad puis au Théâtre de Lucerne, où elle a également interprété La Grande Duchesse de Gerolstein (Offenbach) et Elisabetta (Marie Stuart); Rosina (Le Barbier de Séville), Bradamante (Alcina) et Olga (Onegin) à l’Opéra du Rhin ; Maddalena (Rigoletto) à l’opéra de Zürich, à la Scala et au Bayerische Staatsoper Münich. Cherubino (Nozze) et Dorabella (Cosi) à la Staatsoper de Berlin; Arsace (Semiramide) et Bradamante à l’opéra de Lausanne ; La Périchole au Théatre des Champs Élysée ; Orlovsky (Fledermaus) à Firenze et Alceste à Rome. A venir : Nicklausse/Muse à la Scala, Cenerentola à Dresden.
Marina chante également l’alto solo du Requiem de Verdi, de la Messe en ut de Mozart, les Kindertotenlieder (Mahler), le Stabat Mater (Pergolese), Le messie (Haendel), La petite messe solennelle (Rossini), El amor Brujo (De Falla) ou encore Le Poème de l’amour et de la mer (Chausson) avec de nombreux grands chefs tels que Barenboim, Lorenzo Viotti, Bertrand de Billy et Michel Corboz.
Avec ses programmes diversifiés et ouverts, elle est l’invitée de nombreux festivals de la France au Japon en passant par l’Espagne, Le Brésil ou l’Allemagne, avec notamment les récitals“Love has no borders” et « Porque existe otro querer ».
Ce programme en duo avec la guitare de Gabriel Bianco se promène entre mélodies françaises et espagnoles avec une musicalité charnelle et raffinée, toujours très personnelle. Enregistré chez Aparté, ce programme sort au disque en mars 2023 et ce concert en sera la soirée de lancement.
Carte Blanche à Jakub Jozef ORLINSKI

DIMANCHE 30 AVRIL 20h00
Jakub Jozef Orlinski, Contre-ténor
Michal Biel, Piano
Jakub Jozef Orlinski en quelques mots...
Comment affoler le public et la critique musicale à trente ans ? En devenant en deux saisons une star lyrique grâce à une voix de contre-ténor et à un physique de danseur de breakdance ! Jakub Jozef Orlinski incarne l’une des plus rapides et étonnantes renommées dans la musique classique, mettant en valeur le répertoire baroque.
Son succès commence en juillet 2017 durant la 70e édition du Festival d’Aix-en-Provence. Il est alors invité dans une émission de France Musique à chanter Vedro con mio diletto, extrait de l’opéra Giustino de Vivaldi. À cette occasion, il demande des précisions au sujet du code vestimentaire, il lui est répondu : « c’est de la radio, personne ne te verra ». Au vu des températures estivales, il décide de porter une chemise à carreaux, un short et des sneakers sans réaliser qu’il se produira devant un public et qu’une captation vidéo sera faite ? Au-delà d’une interprétation parfaite de l’air, ce style sportif a contribué au succès de la vidéo sur YouTube qui comptabilise plus de 8 000 000 vues en octobre 2021, la plaçant parmi les vidéos de contreténors les plus regardées. Egalement break danseur, Orlinski a participé avec succès à plusieurs compétitions internationale. Il apparaît dans de nombreuses campagnes publicitaires.
Personnalité attachante, parcours original, talents multiples… Jakub Josef Orlinski maîtrise les codes… pour mieux les briser. Déploiement de virtuosité et de sensibilité, deux qualités d’exception des castrats, réunies par un Orliński aux multiples facettes dans ce concert au répertoire double accompagné par Michal Biel : entre airs baroques et mélodies polonaises de son dernier album.
Finaliste des Metropolitan Opera National Council Auditions, la compétition du Metropolitan Opera, il a chanté au Carnegie Hall, au Théâtre des Champs Elysées, au Festival d’Aix-en Provence, à l’Opéra de Leipzig, à l’Elbphilharmonie de Hambourg et à l’Opéra de Hambourg, à New York, au San Francisco Opera…. Il se produira cette saison à la Galerie des Glaces de Versaille. En 2019, il reçoit le Gramophone Classical Music Awards du meilleur jeune artiste. En 2020, il remporte le passeport de Polityka dans la catégorie musique classique pour 2019.Il a enregistré 6 albums dont 4 depuis sa signature chez Warner.
« Tous les visages de l'amour »
Airs et grands duos ténor & soprano

LUNDI 1er MAI 2023 20h00
CONCERT DE CLOTURE
Fabienne Conrad, Soprano
Christophe Berry, Ténor
David Braccini, Violon solo
Klassik Ensemble
Jean-François Boyer, Piano
PROGRAMME :
Détails à venir
Extraits de
Adriana Lecouvreur, Cilea / La Traviata, Verdi / Roméo et Juliette, Gounod / Manon, Massenet / Madama Butterfly, Puccini / Turandot, Puccini /
Lecocq, Dvorak, Kalman…
Les artistes en quelques mots...
Christophe Berry, ténor :
Après des études en architecture intérieure àl’Ecole Boulle, Christophe Berry étudie le piano et le chant puis se perfectionne avec Jean-Marie Siougos de l’Opéra de Paris. Il fait ses débuts sur scène avec le rôle de Gontran dans Les Mousquetaires au Couvent, et de Camille de Rosillon dans Die lustige Witwe (La Veuve Joyeuse).
Depuis, il est régulièrement invité sur les grandes scènes françaises : l’Opéra national de Bordeaux (Anna Bolena, Tristan und Isolde, Turandot, Siebel dans Faust), l’Opéra national de Lorraine (L’Etoile, Wozzeck, A Midsummer Night’s Dream, Arturo dans Lucia di Lammermoor, Gardefeu dans La Vie parisienne, Brighella dans Ariadne auf Naxos), l’Opéra de Marseille (Lucia di Lammermoor, Dialogues des Carmélites, Boris Godounov, Gioconda, Laërte dans Hamlet), l’ Opéra de Paris (Rigoletto), le Festival des Chorégies d’Orange (Rigoletto et La Traviata) et l’Opéra de Tours où il chante entre autres les rôles du Duc de Mantoue dans Rigoletto, Nicias dans Thaïs et le Chevalier de la Force dans Dialogues des Carmélites.
Parmi les autres rôles qu’il a interprétés, citons Tybalt dans Roméo et Juliette (opéras de Tours, de Lausanne, de Monte-Carlo et de Mascate à Oman), Camille de Rosillon (Opéras de Tours, de Marseille et de Lausanne), Gérald dans Lakmé (au Caire, aux Opéras de Saint-Etienne, de Lausanne et de Santiago du Chili), Cassio dans Otello (Opéra de Massy) et le rôle-titre de Fortunio (aux Opéras de Limoges et de Rennes).
Fabienne Conrad, soprano :
» Her voice commands the entire stage right down to the last mortal breath » The Baltic Times – « L’alchimie des artistes d’élite », Der neue Merker
« Présence scénique prodigieuse, maîtrise vocale, capacité à émouvoir, couleurs et pianissimis, Fabienne Conrad fascine » (Lrytas) – « Des aigus éblouissants, une technique d’acier » Opéra Magazine
C’est dans le rôle-titre de La Traviata qu’elle débute en France : « intensément émouvante et callassienne », elle y offre « des pianissimis qui rappellent Montserrat Caballé » (Forume Opera / NNNews). On lui propose ensuite en quelques saisons plsu de vingt rôles tels que la Comtesse, Juliette, Donna Anna, Mireille, Manon, Mimi ou encore plus récemment Liù, Norma, Madama Butterfly, Tosca… mais aussi le soprano solo du Requiem de Verdi. Sa performance « vocalement et dramatiquement grandiose » (Der neue Merker) dans les 4 héroïnes des Contes d’Hoffmann lui ouvre les portes des scènes européennes. Choisie par A. Duault pour une série de concerts « Maria Callas, une passion, un destin », elle fait partie des quelques jeunes sopranos françaises à pouvoir endosser des rôles à vocalités multiples.
Au-delà des scènes françaises, on la retrouve ainsi sur les scènes de l’Opéra de Leipzig, du Teatro Real de Madrid, de l’Opéra National de Lituanie, de Stara Zagora, Sofia, Lausanne… en concert Salle Pleyel, à la Tour Eiffel, Salle Gaveau, à l’Opéra Comique, au MCPA de Mumbay, au Victoria Hall de Calcutta, à Moscou et en tournée en Russie avec Muscaetrena de T. Currentzis, aux Galas de la Garde Républicaine, à l’ouverture des Chorégies d’Orange en direct sur France Télévision, en image du jour de BBC News….